Feedback sur l'évènement - moments forts

"Un grand merci à Nico et alex qui ont travaillé d'arache pied pour que tout soit pret pour le jour J." -> Sans oublier Le Sec qui était là à chaque fois!

On a bossé dur, mais ca en valait largement la chandelle!
Une ambiance pareille ca se mérite

D'accord avec Alx-I.

Je suis reparti avec lui le dimanche soir retaper le Sanctus Ferrus à Mons. Quel bordel, d'ailleurs ! Heureusement que Le Sec, Tchipo et Chin-Chin étaient là...

En partant, sur la plaine, les gens (il en restait peu) nous faisaient signe de loin. Un grrrrand moment ! C'est beau la notoriété, nondidju !

Haaaaaaaaa c'était génial!!!

Je me suis marré comme une fouuuu avec vous tous, malgré mes douleurs journalière...merci a Sophia d'avoir sue abrégé mes souffrances avec sa médecine mentholée
Le sec a manqué de charme cette année, mais je conte bien me rattraper!!!! Je veux un massage à 14 mains bordel!!!

Et également faire de tout les jours des samedi soir!!! c'était si bien
C'est agréable de voir qu'on peut compter sur tout ces compagnons a tout moment, merci mercenaire..

J'ai bien aimé aussi tout c'est revirement de situation au combat... me battre contre toi Ullrich et puis a tes côtés en tempête ensuite!!!
Les avancées de la ligne avec Le Chapelain sur la fin était très bien organisée et très plaisante je dois dire!!
D'ailleurs je n'arrêt pas de penser a pleins de tactiques plus intéressante les une que que les autres...je m'engage personnellement à en faire par au Capitaine et compagnons...une vrai tuerie!!!! une ligne insaisissable!!!

Bon vous me connaissez compagnons, j'ai toujours une danseuse du ventre dans ma tête qui ne veut pas partir mais bon ma fois ce n'est pas le mal de tête le plus désagréable
Je me demandai même si je ne ferai pas danseur du ventre pour le Rhino l'année prochaine.. quand pensez vous??? "tout en restent brutal et virile" nnnnnnnnnaaannnnn.....

Que soit, vous m'avez tous bien fais rire et c'était gégnial!!! "interrrprrret" mdrr.
Pour le reste j'ai adoré sué comme une bête et gueulé comme Rhiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnooooo à perdre ma voie de mercenaire pour une voie de MERCENAIRE!!!

Bon je sais que j'en oublie pas mal d'entre vous....et pleins de bon moments passé...mais je reviendrais en parler plus tard...
Vous l'savez je préfère de loin courtiser que d'écrire...

ps: Alex,Nico ce fut un plaisir de travailler a vos côtés...sans trop de mérite pour ma par car j'en avais le temps libre ;-)

Non d'un Tower Shield, y'en a beaucoup trop des souvenirs...

Le premier, c'est 5 minutes après mon arrivée. Entendre de la part de gens que je n'avais vus qu'une seule fois auparavant les most "inteeerpreeet" ou "cuilleeeeer" m'a fait me sentir chez moi : des mecs qui sont fans de KAAMELOTT ne peuvent être fondamentalement mauvais !

Dimanche minuit. Le Sanctus Ferrus est enfin à la Forge. Vaillant s'allume une "tige". Moi de même. Le Chapelain lutte contre le sommeil. Le Sec et Tchipo ont toujours envie de se faire masser.

- Moi : Au fait, les gars, j'dis ça, j'dis rien, mais la prochaine fois, avertissez-moi AVANT de ce que vous allez mettre comme blason sur mon (votre) bouclier. Je vous envoie un taureau, on me dessine un mouton avec 2 semelles de chaussures de part et d'autre de la gueule ! L'année prochaine, si je vous donne un Char, vous me dessinerez quoi ? Un vélo ?

- Le Chapelain : ben quoi ?! T'es berger ! On t'a fait un mouton et on a été assez gentil pour en faire un bélier ! Ca ressemble à un bélier quand même...

- Vaillant : (sourire en coin) ... héhé...

- Moi : (calmement) Je n'ai JAMAIS dit que j'étais berger. J'ai dit que j'étais originaire d'un village d'éleveurs.

- Le Chapelain : (bouche bée) ...

- Vaillant : (sourire en coin) ...héhé...

- Moi : (toujours calme) ...

- Le Sec : (sautillant sur place depuis 5 minutes) j'ai envie de me faire masser, putain !

- Tchipo : (la tête dans l'cul) Putain, Le Sec, ta gueule !

- Le Chapelain : (un peu emmerdé) Oui mais bon, on ne pouvait pas mettre un taureau. Ca rappelle le "Taureau Fertile". Et eux, ils sont intouchables...

- Moi : (encore calme) Entièrement d'accord. Mais si on dessine un bestiau, y'aura toujours quelqu'un pour faire remarquer que c'est déjà pris !

- Vaillant (sourire en coin) : ... héhé...

- Le Chapelain (fatigué) : mouais...





Samedi minuit. Devant l'auberge du Chapitre. Le Rhino monte la garde. Des gens entrent et sortent de l'auberge.
Je suis à l'entrée. Deux personnages s'approchent de moi. L'un n'a visiblement pas d'armes. Rondouillard, un chapeau de paysan chinois (ou vietnamien ou cambodgien ou...) sur le crâne, petit, les yeux grands ouverts. L'autre, plus grand (c'est pas difficile), a une épée au côté et une armure en cuir.
Ils regardent mon bouclier.

- Rondouillard : Salut à toi. On regardait ton bouclier et plus particulièrement son sigle.

- Moi (déjà dans sa routine) : Si vous vous voulez louer les services du Rhino, adressez-vous au capitaine. Il est dans l'auberge, près du bar...

- Le Grand : heu... non, mais ce qui nous intéresse, c'est le petit dessin, en bas !

- Moi (naaan ?!): ... vous voulez dire...

- Rondouillard : Ben ouais. C'est ça qui nous intéresse. Vous êtes éleveur de moutons ?

- Moi (putaaaain, je l'savais que ça avait l'air d'un mouton, bande de cons !!): Pas moi. Mais je viens d'un village d'éleveurs. Mais c'était il y a bien longtemps...

- Rondouillard : Ah !? Vous n'avez pas de moutons à disposition ?

- Moi : Plus vraiment... Le Mal Noir a tout ravagé.

- Rondouillard : Le Mal Noir ?

- Moi : Oui... Celui où un seul remède existe !

- Le Grand : Ha ?

- Moi : Hé !

-Rondouillard : C'est quoi ?

- Moi : "Pars vite et reviens tard !!"

- Le Grand & Rondouillard (interloqués) : Ha ??

-Moi : Hé !

- Le Grand : Du coup, on n'a plus rien à faire ici ?!

- Moi : A vous de voir.

- Rondouillard & Le Grand (un peu déçus quand même) : Au revoir...

- Moi : Au revoir...


Et voilà. Si vous voulez vous faire remarquer des marchands et faire des affaires avec eux, ayez un Tower Shield !

Un souvenir parmi d'autres...

Il était une fois un Chapelain, bien ennuyé d'avoir à frotter ses jeunes mercenaires à l'Entité du Chaos.
Ce genre de demi-dieu promettant non seulement d'être très costaud s'il ne voulait pas collaborer, mais aussi, pourrait prendre le Rhino en mauvaise grippe de cet affront et mettre à mal sa neutralité.

- Le Chapelain : Sentinelle ?
- La Sentinelle : Que puis-je, Chapelain.
- Le Chapelain : Haerm, bon, alors, c'est compliqué : notre employeur insiste pour que l'on capture l'enti...
- La Sentinelle : Désigne-moi la cible.
- Le Chapelain : Euh, le gars là-bas, avec les longs cheveux. Euh, attention, s'il se fâche, ça pourrait...
- La Sentinelle : Cible enregistrée.
- Le Chapelain : ... ...

Aussitôt, L'Emissaire et la Sentinelle se mirent à traquer leur cible, laquelle fut finalement interceptée (Proprement et sans bavure) devant le Chapitre. Et le lendemain, au milieu de la débâcle programmée des forces combattant pour la Loi, la Sentinelle, se jouant des cerbères, démons, dégénérés et cultistes en tous genres, se faufila jusqu'au coeur du commandement du Chaos et assomma Aziel himself. Il n'eut juste pas le temps de l'achever.

La guilde du silence na qu'à bien se tenir... L'Officio Assassinorum est dans la place.

Bière !

RESIST

Bière !

RESIST

...

Whiskey !

COMAAAA...

Où est le rhino?! .... Où....Où...Où..Où!!

Combat final.

Je finis par tomber (comme d'hab). A 4 contre 1, j'ai beau être un bon défenseur, je ne fais que retarder l'échéance.

Lochot (Chef des Hyènes) me relève avec sa Magie. Je suis sensé le servir comme "Serviteur des Tempêtes". Pas de problème, ça peut être drôle.


Et de fait... Je suis en train de mettre mon voile gris sur la tête (comme identification) quand Le Sec arrive près de moi.

Je me demande encore comment Le Sec a pu arriver sans problèmes en plein coeur du camp ennemi !

- Le Sec : "Ils sont où les autres"
- Moi : "Dégage ! Je ne suis pas là. Je n'existe plus !"
- Le Sec : "Ha. Ils sont où les autres ?"
- Moi : "Putain, mais dégage, tu n'es même pas sensé me reconnaître !"

Je lui montre ma ceinture débarrassée de mon Fil de Rêve...

- Moi : "Tu vois ? Je ne suis plus là. Ne m'adresse plus la parole !"
- Le Sec : "Heu..."

Commencerait-il à comprendre ?

- Le Sec : "T'as pas vu les autres ?"

Ah non, il n'a pas compris.

- Lochot : "Vas-y ! Tue-le ! Je te l'ordonne !
- Moi : "Raaaah !!"


Pif ! Pouf ! Paf ! En 10 secondes et 1 gars qui flanque et Le Sec est à terre !

10 secondes plus tard, Lochot relève un 2ème Serviteur des Tempêtes !

1 minute plus tard, c'est Tchipo qui nous rejoint.

- Lochot : "Y'a rien à faire, quand je vois un Rhino à terre, je peux pas m'en empêcher !"


C'est beau, la renommée !


Mais Brice, bordel, c'est pas faute d'avoir essayé (légalement) de te faire dégager.

Mais comment diable es-tu parvenu à franchir la ligne adverse ?

Le truc c'est qu'avec la tête qu'il a avec son masque il passe pour un Chaotique extrémiste violeur de none.
Mais avec le Rhino sur son pavois il est clairement identifié comme serviteur de la loi.

Pour peu qu'il montre le bon profil à la bonne personne, il va ou il veut le sec .

Quelques photos prises par le capitaine du navire des insulaires.
Souvenir d'une soirée mémorable
http://www.3dplume.be/gn/thumbnails.php?album=16&page=2

deux belles photos :

Enorme ces comptes rendus!

J'irai de ma plume lorsque je serai sous de meilleures augures.

hello les rhinos

petit message pour vous faire part d'une saga écrit par nos skaldes qui devrait vous plaire (c'est une ébauche il y a des correction à faire sur l'emplacement des forces en présences):

L'année de la chope ébréchée :

La bataille de l'oeuf de dragon.

C'est ainsi que les Hyènes se retrouvèrent face aux despotes du Koenigskrieg et du Chapitre, des peuplades sanguinaires menées par l'Afghan Khan, et d'autres groupes de mercenaires avides de sang, tous tenus en laisse par la Loi.
Un oeuf solitaire, dont le mystère n'avait d'égal que les ambitions sans limites de chaque camp, se dressait entre les deux lignes de front. Un ressac malodorant embaumait la plaine de soufre et d'urine de dragon.

Le nom des lâches qui renoncèrent avant le premier coup porté n'a pas sa place sur les pages de ce livre, ils furent nombreux à se complaire dans la sécurité éphémère de cet acte de couardise. Seuls les braves Rhinos compensèrent leur nombre restreint par une volonté valant mille fois celle des fuyards. Rhinos et Hyènes, secs et droits, préparés dès leurs premières années de rêve pour ce glorieux moment, rivalisaient de courage, d'honneur et d'indéfectible force, nous unissant sans mot piper dans un pacte tacite et mortel. D'aucun disent que ceux d'en face avaient forcé leurs vieillards et leurs enfants à monter sur le champ de bataille pour grossir le ventre de leur cohorte à la façon d'une casserole de haricots blancs. Dans nos yeux embrasés se reflétèrent l'espace d'un instant les visages apeurés de moult ennemis qui battirent à leur tour en retraite, sentant en nous quelque sorcellerie qui nous encouragerait à rester malgré les évidences. Ils entachèrent alors d'une honte éternelle le peu d'honneur qu'ils avaient jusqu'alors agité aux quatre vents derrière leur entité obèse, et qu'ils passeraient une éternité à dissimuler sous des excuses valant bien un pet de roi.

La vérité, je vais vous la dire, nous étions à peine trente. Moins nombreux que la garde personnelle de l'Impératrice, contre sept milliers au départ, qui sans les estropiés et les eunuques qui partirent au premier rire de Hyène, finirent à huit cent barbares inébranlables dans leur entêtement.
Ha ! Cela ne faisait donc plus que quatre-vingt ennemis par tête. Autant dire que nous fûmes assurés d'en tuer la moitié avant de nous faire poignarder dans le dos par de veules spadassins. Pour la gloire des rêves futurs et pour faire de nos enfants des guerriers plus fiers encore que nous-mêmes, nous tînmes bon sur nos pieds cornés par les batailles passées. Prêts à marquer d'une brûlure double le fil du temps, celle d'une corne, et d'une griffe de hyène. Dans nos rangs la peur fugace des plus jeunes céda place à l'enthousiasme transmis par les aînés, faisant de tous des guerriers ce jour-là, quelle que fût l'épaisseur de l'armure ou la longueur de l'épée.

Les Hyènes, plus lestes et rapides, furent savamment placées aux flancs de la ligne de pavois dressée par les Rhinos. Les cris de guerre résonnèrent à mille lieues à la ronde, réveillant des villages encore couverts par la nuit, car le soleil lui-même ne porta pas autant que notre Halat, Hyène ! mêlé à leur Rhino, Corne ! ce matin sanglant. Charge fut donnée, et l'avantage du nombre n'étant pas le nôtre, nous remplîmes notre rôle en bons mercenaires, tenant compte de nos propres qualités, en harcelant les points faibles de l'ennemi, qui étaient rares et peu visibles dans la masse extraordinaire de soldats focalisés sur notre petit groupe. Nous avançâmes plus vite qu'eux, qui étaient décidément si convaincus de nous submerger par le nombre qu'ils négligèrent les règles élémentaires de survie, envoyant leurs premières lignes au coupe-gorge sans s'en soucier. Le chaos fut total, nos frères et soeurs se mêlant aux ennemis, tandis que le gros se focalisait sur l'étrange char des Rhinos. Nous nous reconnaissions entre nous, élevés au même sein, et couchés sur la même paille, tandis que maint barbares moururent avant de savoir qu'ils marchaient depuis quelques instants coude à coude avec un ennemi discret et insaisissable, le plus dangereux de tous : une Hyène dont le seul uniforme était le sang de la Mère qui coulait en ses veines.

Beaucoup d'entre nous périrent, mais aucun sans s'être assuré d'emmener assez d'ennemis avec lui pour jouer aux osselets avec la Camarde. L'herbe fut maculée de sang barbare ce jour-là, et c'est une victoire bien amère qu'ils apportèrent à leur camp, de celles qui ne méritent pas de tuer le cochon. Car les Hyènes et le Rhinos avaient désormais gagné le respect et la crainte de tous, en emportant plus de six cent soixante soldats avec eux dans les Limbes. Ce nouvel acte de bravoure marqua le début de l'année de la Chope Ebréchée, car nous bûmes longtemps à nos exploits militaires, et trinquâmes maintes et maintes fois avec nos nouveaux amis, les Rhinos.

Que l'on m'apporte un prêtre, que je me mouche dans sa robe
Magnifique récit!
Tu devrais le poster sur le forum d'avatar, que ces lâches ne ressentent que plus clairement l'aura de honte irradiant par-delà leur corps et les désignant, eux et leur descendance, pour ce qu'ils sont et jusqu'à la fin des rêves! )

Gloire aux vrais guerriers, gloire aux Hyènes, gloire à Nous!

Je m'agenouille devant pareil récit, réveillant en moi les douloureuses cicatrices de cette bataille sanglante, au cours de laquelle nous n'avons pas joué la victoire mais le respect de tous! La férocité des Hyènes et des Rhinos est maintenant connue d'entre tous! Prenez garde, gens de tous horizons, que vous soyez barbares, magiciens, de sang noble ou guerrier obscur, si vous croisez un jour le chemin de ces deux bêtes féroces, sachez que leur courage n'a d'égal que leur rage au combat...

La Sentinelle a écrit:

..., sachez que leur courage n'a d'égal que leur rage au combat...

...et leur soif la nuit tombée